10 juillet 2005

Batman Begins

                 



  Comment un homme seul peut-il changer le monde ? Telle est la question qui hante Bruce Wayne depuis cette nuit tragique où ses parents furent abattus sous ses yeux, dans une ruelle de Gotham City.
Torturé par un profond sentiment de colère et de culpabilité, le jeune héritier de cette richissime famille fuit Gotham pour un long et discret voyage à travers le monde. Le but de
ses pérégrinations : sublimer sa soif de vengeance en trouvant de nouveaux moyens de lutter contre l'injustice. Durant cette quête, Bruce rencontre le mystérieux Ducard. Devenu son mentor,
celui-ci l'initie aux disciplines physiques et mentales nécessaires à ses futurs combats. Bruce est bientôt invité à rejoindre la Ligue des Ombres, une puissante organisation subversive, adepte d'une justice expéditive, que dirige l'énigmatique Ra's Al Ghul.
   De retour à Gotham, Bruce retrouve une ville en décomposition, ravagée par le crime et la corruption. Avec l'aide de son fidèle maître d'hôtel Alfred (Michael Caine), de l'inspecteur
Jim Gordon (Gary Oldman) - l'un des rares policiers honnêtes de la ville - et de Lucius Fox (Morgan Freeman), son allié au sein de département des Sciences Appliquées des Wayne Entreprises,
Bruce se fabrique un terrifiant alter ego : Batman, le justicier masqué qui utilise sa puissance, son intelligence et sa vaste panoplie high-tech pour combattre les forces maléfiques qui menacent
sa ville de destruction…

Nolan contredit les films de Burton et met aux oubliettes ceux de Shumacher
Ce prologue a l'existence de Batman ne déçois pas, c'est assez nerveux au début. Nolan ose cette remontée dans le temps de ce super héros et ce n'est pas facile... Le parie est gagner pour moi malgré quelque petite fautes…

                       

 
Batman dans le numéro 27 de Detective Comics, daté de mai 1939

   Tandis que Marvel enchaines ces adaptions comics (Spider man, X men, Hulk, Fantastic 4, Punisher, Ghost Rider etc...) Son concurrent DC Comix stagne que même l’échec de Catwoman n'y fera rien. Mais DC revient en relançant sa franchise Batman en la confiant au brillant réalisateur qu'est Christopher Nolan qui a déjà réaliser Memento, excellent film et Insomnia, très bon film aussi.
   Avec un budget de 135 millions de Dollar, il y a de quoi faire. Surtout avec le scénariste David S. Goyer (the Crow, Dark City, Blade, Blade II et III...) et des acteurs comme Christian Bale (American Psycho, Shaft, Reign of Fire, Equilibrium...) qui a du manger, se goinfrer et faire beaucoup d'exercice, car il a due perdre plus de 28 kilos pour son précédent film, The Machinist (Brad Anderson)


   Je me souviens d'un Batman ridicule, trainant avec lui son copain Robin, et affrontant des méchants de plus en plus débiles et psychédéliques. C'est sur Joël a signer la mort de la franchise Batman. Mais ce n'est pas tout a fait que de ca faute. Les dirigeant de la Warner voulais se faire un max de fric, en imposant a l'équipe, toute une ligne de jouet et autre goodies, qu'il fallait exploiter en film. Tandis que le groupe DC comix a aussi participer a cette tyrannie marketing, jusqu'a en brise la franchise.
   Mais la Warner n'en reste pas là, malgré la chute de sa franchise depuis 1997 .A plusieurs reprises, ils tentèrent de redonner un coup de jeune à leur super héro en confiant premièrement à Darreen Aronofsky, qui a travaillé sur l'adaptation de Batman: Year One de Franck Miller et David Mazzucchelli. Ensuite Joël qui n'était pas contre un Batman 5 O_o et Wolfgang Petersen (Das Boot, The Perfect Storm, Troy..) qui se réservait un Batman vs Superman.

 


   Bref ! Mais tout ce décide en 2003, quand le scénariste, David S. Goyer, confie le scénar a Nolan. Ils décidèrent de recommencer tout à zéro et donc de revenir au début, à la genèse du super héro. C'est vrais que les origines du perso n'ont jamais été raconté correctement dans aucun des autres films, ni aucune des séries TV, mise a part le récit de Franck Miller "Batman : Year One" Ce qui devient donc un territoire vierge et inconnue pour le scénariste... Mais c'est qu'en reprenant du début, que la Warner pouvait s'attendre a un bon succès, vue que les adaptations Marvel, tel X-men ou Spider man exploitent leur origines.



Batman:Year One, de Frank Miller et David Mazzuchelli (1987) 



 Ra's Al_Ghul 

   Il y eu beaucoup de changements, notamment dans la nationalité de Ra's Al_Ghul passant d'arabe dans les comics, a une autre nationalité plus occidentale, peut être que ce n’est pas trop le moment de mettre des arabes sur le devant de la scène cinématographique, surtout si ce dernier veut détruire Gotam City !


Au niveau casting, des acteurs renommer comme Morgan Freeman (Lucius Fox), Michael Caine (Alfred) Liam Neeson (Henri Ducard) Gary Oldamn (Jim Gordon) Kathie Holmes (Rachel Dawes) Tom Wilkinson (Falcon) Gillian Murphy (L'épouvantail) il devait jouer Batman ^^


      


     

Ce qu'aime Christopher Nolan, c'est que Batman n'a pas de super pouvoir. Il est un humain dans un monde reconnaissable. Et c'est là que le film entre dans une pensée réaliste. Les technologies qu'utilise le super héro ou sa Batmobile ou même son costume, sont le fruit d'une technologie existante pour la plupart, a croire d'après David Goyer, que tout le monde peut devenir Batman ! Alors qu'il n'est pas possible de devenir un Superman ou un Hulk ;)
   Ce partie pris m'a vraiment plu. Il est plus attirant et ca ne m'étonne pas de Nolan, lui, venant de film tortueux et sombre en général. Ceci grâce à Nathan Crowler, le production designer. Tout devait être réaliste et pour lui, il ne fallait pas rater les deux gros gadgets du film, a savoir le costume et la Batmobile (adieu les tetons sur le costume de Batman ;))



Ouh la la la la la la !


Ouf ! C'est un peu mieux.

   Ce costume, il fallait l'alléger un peu, forcement, vue qu'il était lourd et encombrant (d'où la rigidité des acteurs dans leur jeu, sur les précédent opus). Pour Bale ce ne fut pas très commode au début, mais il s'ait habitué et est entré encore plus dans la peu d'une bête, d'après ses dires et aussi ils ont choisi une forme de combat brutal et sauvage, le Keysi.
   Pour la Batmobile, ils ont choisi l'aspect pratique qu’à l'aspect esthétique, plus adapter au réalisme de l'histoire. Il y eu 12 a 13 répliques de fabriquer pour le film.
   Heureusement que la Warner ne s'ait pas trop sinisé au projet, laissant le champ libre a Nolan. Surtout au vue les essais filmés en studio avec Bale en Bruce Wayne et en Batman. Sachant qu'il ne voulait pas confier la franchise a un magicien d’effets spéciaux et de pyrotechnie ; mais plus à un auteur. Et surtout que Nolan avait un point de vue et une vision solide qui rassurait tout le monde. Pour l'acteur principal, Christian Bale ce ne fut pas chose facile, comme je vous le disais, il devait reprendre du poids, depuis sont précédent personnage de Trevor, dans le Machiniste. Il pesait a ce moment là 54 kilos ! Il devait prendre au moins 45 kilos en un peu plus de 5 mois !
   Son corps a due souffrir lol En plus de se nourrir comme un malade, il devait soulever des poids de plus en plus lourd, ce qui lui a valu de reprendre les muscles qu'il avait perdu. C'est sur avec six heures d'entrainement par jour...heum

                                         
Flipant non ?

   Bale prit son rôle a cœur, connaissant déjà les volontés de Nolan. Il s'ait approprié son personnage en abordant son coté sombre : la vengeance et le droit de faire justice soit même. Torturant ainsi son personnage de Bruce Wayne, tout en ayant conscience des conséquences. C'est un dilemme philosophique. Aussi il réalisa la plupart des cascades, dirigé par Paul Jenning, le responsable des cascades (Below, Thunderbirds...) Mais il avait quand même sa doublure Buster Reeves qui a mis au point cet art martial qui est le Keysi, dont la chorégraphie se mariait bien avec le costume.


   Mais Bale ne connait pas vraiment le monde du comics, certes il connait bien les Spiderman, les Superman de nom, mais ce n'est pas un fan. Par contre, pendant le tournage, il avoue en avoir lu pour rechercher des postures ou des détails, qu'il pourrait exploiter. En tout cas en acceptant le rôle il endosse le nouveau visage du vengeur masqué, un tournant dans sa carrière qui lui ouvrira les portes du succès qu'il mérite. Sans pour autant délaisser les films indépendants. Enfin j'espère ...




   Quand a Michael Caine, il s'ait beaucoup amusé dans son rôle d'Alfred, ce qui le fit rire c'est que dans l'armée britannique un "batman" c'est un soldat qui s'occupe des enfants des officiers. C'est une sorte de majordome, comme il dit: Il était le « batman » de Batman. Du coup, il s'est imaginer être un ancien sergent de la SAS, qui avec l'âge, est devenu une sorte de sergent cantinier au mess des officier. C'est là que le père de Bruce Wayne, le rencontre et l'embauche comme majordome de la famille et ensuite le père de substitution et le gardien de Bruce.
   Au delà de la psychologie des personnages, le film fait appel a des effets visuel, comme le dit Bale, ça reste un divertissement, donc faut du visuel bordel ! (j'ais pas pu m'en empêcher ^^) Pour cela ils font appel a Janek Sirrs (The Matrix, The Matrix Reloaded , The League of Extraordinary Gentlemen...) et Dan Glass (13 fantômes ,The Matrix Reloaded, The Matrix Revolutions...) superviseurs des effets visuels du film. Avec seulement 600 plans a truquer, ce n'est 
pas beaucoup pour un film de cette envergure, vue que Batman n'a pas de super pouvoir, ça limite au niveau effets spéciaux

 Par exemple la séquence de l'entrainement de Bruce Wayne, a été tournée en Islande pour les prises de vue réelle et en studio pour la maquette fabriquée par la société londonienne Cutting Edge. Le monastère où vit Ras’ Al Ghul et ses adeptes est construite en miniature a l'échelle 1/12, ce qui faisait une maquette de 4,5 mètres de large sur 3 de haut ! La montagne qui est au alentour a été filmé en Islande avec des repères pour les mouvements de camera. Une autre réplique de 1/6 a été construite mais c'est seulement une partie du bâtiment pour les grosses scènes de pyrotechnies.

Voici un exemple d'un effet visuel décortiqué, que la plupart des films font pour des plans trop coûteux



Balayage camera de la montagne et du glacier en Islande.  Les marqueurs ont été placés par l'équipe avec une construction partielle du monastère à la base de la pente, pour indiquer les reperes de mouvement de camera.





Passage sur ecran vert de la miniature, en 1/24 du monastère. Des composants et des modèles miniatures du paysage ont été présentés selon la conception numérique.





Dépistage des points de reperes du paysage produit par le motion capture.  Ces points ont été alors lus dans un plugin pour reproduire un maillage 3D, donnant la topologie de base, de la montagne.


Une simple maquette numérique des composants de monastère.  La maillage du terrain était re-sculpté pour ajout supplémentaire, tout en préservant la continuité du paysage environnant.





Des passages de neige en numérique ont été créés avec une combinaison de dynamique sous Maya, de systèmes liquides et de rendu aleatoire en utilisant le rendue de particule "DNA" (Double Negative’s proprietary)




Première intégration de base de la miniature sur le terrain Islandais.  Les deux éléments ont été stabilisés les uns contre les autres avec un processus de compositing.  Le travail matte painting a été utilisé pour intégrer des details et autre miniatures du paysages, augmentant ainsi les détails de neige et de projection dans l'espace 3D

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Toutes les couches remontées. 

   La Batmobile fut fabrique par l'équipe de Chris Corbould, qui a déjà fait la plupart des véhicules des James Bond et qui a fait l'arsenal et autre gadget pour certain, fonctionnel, pour notre super héros. Cette Batmobile aussi massive quel soit, pouvais monter jusqu'a 160 Km/h ! Une anecdote ou lors d'une fin de tournage en pleine ville, un conducteur un peu bourrer, la voit s'en allant vers le camion de chargement, surpris par ce monstre a quatre roue, il l'a percute avec sa voiture ! Il y a eu d'autre réplique en miniature pour les grosses cascades à l'échelle 1/5, ce qui donne quand même une bonne petite Batmobile radiocommandée. Elles furent utilisées pour la poursuite de toit en toit. Ces dernières étaient énormes  Le véhicule quand a lui était expulser grâce a une catapulte.


   Pour la ville, le choix fut Chicago. Ils durent photographier et mesurer au laser chaque face de chaque immeuble de la ville pour reproduire l'environnement 3D ! Formant ainsi une ville au design particulier en enlevant bien sur les immeubles les plus connue, car il ne faut surtout pas que l'on reconnaisse la ville américaine, mais avoir plutôt un Gotham City High Tech. Les photos prises fut convertie en texture pour les façades des bâtiments 3D.
   Même Christian Bale fut scanner et photographier en très haute définition sous tout les angles, servant a la modélisation du Batman 3D pour les scènes l'intégrant dans des plans larges de poursuite en ville trop complexe.



Panorama tiré du toit d'un hôtel de Chicago Cette prise provient d'une Canon model EOS D60 SLR numérique avec un objectif de 50 mm.


   Pour la Batecave Elle fut construite dans un hangar a dirigeables désaffecté datant de la première guerre mondial elle mesurait 240 m de long 75 de large et 45 de hauteur du coup aucun effet visuel à faire vu que c'était un vrais décor imaginer ce décor ca devait être immense !
   Bon. C'est un bon film qui me rassure de la nouvelle direction que prends la Warner, suite au autre film de Joël Schumacher (il reste quand même un bon réalisateur qui nous a fait un superbe 8MM ou Tigerland ou encore The Phantom of the Opera de 2004)
   Ce film m'a réellement plu au début lors de l'entrainement de Bruce Wayne qui ce torture l'esprit choisissant de fuir la civilisation pour ne pas sombrer dans la haine Cette partie du film est hors contexte de ce que peut faire Hollywood avec ces héros qui affrontent leur avenir avec une certaine assurance, il faut saluer la prise d'un tel risque pour faire ce film dont le rythme est graduel et non conformiste.


   Ce film mise sur la peur en général des hommes face a ce qu'il ne connait pas et face a son ignorance Henri Ducard disant a Wayne de quoi a t'il peur ou Thomas Wayne disant a son fils de ne pas avoir peur pendant sa mort ou comme le flic incorruptible Gordon
   Mais cette peur Wayne voulait la combattre et la vaincre en explorant les bas fond de la criminalité sans en devenir un lui même Il a perdu beaucoup de ses préjuges sur la nature du bien et du mal en volant pour ne pas mourir de faim. Mais cette peur est en lui. C'est ce que lui apprends Ducard dans le temple



   Il doit la combattre intérieurement. Il l’apprend dans le temple grâce a son mentor si mystérieux Henri Ducard. Ce dernier lui demande de faire appel a la colère car grâce a elle sa force sera décupler mais elle peut l'anéantir le seul moyen est de la retenir grâce a la vengeance. Mais la vengeance est une raison personnel une satisfaction de soit. Je trouve ca intéressant comme pensée, car lorsque la colère étouffe le chagrin au point que l'être aime n'est plus qu'un poison et on se surprend alors à souhaiter que la personne aimé n'est jamais existé et pour être libre, la vengeance est la seul alternative. Tout ceci est utile à la compréhension de la transformation de Wayne en Batman pour combattre la criminalité. Cette même criminalité portant le visage de Falcone ne peut estimer les gens comme Wayne car il ne vit pas dans le même monde et ne connais pas le désespoir avant que bien sur il ne décide après les dires de Falcone, de tout quitter pour s'imprégner de ce désespoir.




   La première partie du film ce fini par le combat au temple de la ligue des ombres qui est d'ailleurs une belle scène d'action ou on voit les qualités du coordinateur de cascade. Le retour de Wayne est délicate car c'est la que commence la naissance de Batman. Car ce dernier représente un symbole et un symbole
est éternel et incorruptible alors que Wayne est un simple homme certes doué d'une grande force mais qui peut être détruit et ses idées avec. Le film a ce moment là, est bien travaillé tout est justifier dans les moindre mesure. Le département expérimental de son père diriger par Fox qui voulais que la technologie serve les hommes comme le train traversant la ville, qui sera d'ailleurs, le théâtre de la grande machination de Ra's Al Ghul.





   Et les commandes et la conception des éléments que feront le personnage de Batman. Nolan accentue encore le réalisme en nous avertissant que Batman n'est pas immortel avec ce plan où Alfred casse, à l'aide d'une masse, le casque de Batman...
   La vraie sortie de Batman est imprévisible car c'est l'anniversaire de Wayne, qui a 30 ans ce jour là. D'ailleurs les invitées virer par ce dernier ma bien fait rire Est ce le déclin de Wayne et du coup de Batman ces personnage sont il réellement lier ? La pomme est tombé très loin de l'arbre mais pourquoi tombons nous ? C'est pour mieux apprendre à se relever !
   A ce moment la Ra's Al Ghul prépare la destruction de la ville car pour eux, dès que la civilisation atteint l'apogée de sa décadence, la ligue de l'ombre vient rétablir l'équilibre dans le chaos. Les moments où Batman essaye d'empêcher, que la toxine s’empare de la ville, enfin d'une partie de celle ci, sont assez conventionnelle par moment, mais a d'autre moment il y a des scènes de visions cauchemardesque des victimes de ce gaz (rappelant le premier Batman avec le Joker qui avait le même plan) donnant une représentation très intéressante de Batman.



   Je comprends pourquoi cette franchise a été confier a Nolan qui a un traiter réaliste comme ces précédents film Comme ce que Marvel a fait avec Brian Singuer pour les X Men et prochainement Superman Return.




   C'est un bon film même très bon film où la délicate attention du réalisateur pour transformer et surtout rendre réaliste la naissance de Batman. Mais toute cette précaution ne peut empêcher quelque faux raccord et des petites erreurs de mise en scènes et surtout des certain dialogue. Mais pour un premier film de cet ordre pour un aussi jeune réalisateur c'est un exploit !
   En bref la première partie on sent que le réalisateur est dans son terrain car un peu plus mystique le personnage cherchant a combattre ça peur intérieur et la seconde partie avec le Batman dans Gotham City qui combat extérieurement face au criminel on sent le réalisateur hésitant qui n'a pas beaucoup l'habitude de mettre en scènes des combats au corps a corps c'est assez confus et on y voit pas grand chose ca accentue l'esprit du super héros qui frappe dans l'obscurité mais bon J'aurais aimer par moment de voir de beau combats en plan large et le choix de la voix embrouillée et grave, une fois le masque porté, me gêne aussi un peu.







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