25 avril 2006

Jean Philippe

Fabrice, cadre moyen, est un fan absolu de Johnny Hallyday, peut-être même le plus grand... Mais un jour, il se réveille dans une réalité différente, un monde parallèle où Johnny n'existe pas. Perdu, orphelin, il se met alors à la recherche de Jean-Philippe Smet, pour savoir ce qu'il est devenu dans cette autre dimension, et lorsqu'il le retrouve enfin, c'est pour découvrir un patron de bowling, un type comme les autres qui n'est jamais devenu une star. Fabrice n'a plus qu'un seul but : ressusciter son idole, réveiller le "Johnny" qui sommeille en Jean-Philippe. Mais Jean-Philippe peut-il devenir en quelques mois ce que Johnny Hallyday a mis des années à construire ? Les deux compères ont 40 ans de "Johnny" à rattraper ! A travers l'aventure de ce pari impossible, une amitié extraordinaire va naître entre les deux hommes...


Ce film est née de la rencontre entre Laurent Tuel et Christophe Turpin (scénariste). Ce dernier avait écris un début de scénario qui a tout de suite plu a Tuel il voulais ajouter une dimension légèrement fantastique au récit Mais le plus dur fut de convaincre le principale intéresse Johnny ! Ça faisait longtemps que Johnny Halliday devait tourner avec Laurent Tuel notamment dans "Go with god" avec Mathieu Demy. Mais ce dernier refusant catégoriquement tout film ou du moins tout rôle tournant autour de la musique, l’histoire non conventionnelle et surtout délirante, plu à la star et fut d’accord. Mais ce ne fût pas facile pour Luchini qui en lisant le script n’a pas saisie quelque passage malgré la visite de Johnny Hallyday dans sa loge, lors d’une représentation théâtrale. Madame Luchini a eu raison de son hésitation et convaincue son mari pour le faire. Pour le film, il fallait absolument trouver des lieux justes pour chaque personnage.


Dans une banlieue pavillonnaire, pour monsieur tout le monde par Luchini, un Bowling dirige par Jean Philippe. Les repérages devait être compliquer pour réussir a retrouver tout ces lieus. Le plus dur sans conteste est le géant concert au Stade de France. Impossible de tourner un vrais concert. Il a fallut filmer le vrais stade en hélicoptère. Pour les spectateurs, ils on été filmer sur un grand terrain a Villacoublay avec tout de même huit cents figurants ! Pour le reste l’assemblage avec les effets de pyrotechnique fût réalisé en numérique. La musique, enregistrer a Londres est écrite par André Manoukian .Elle est teintée de blues par moment rappelant le destin raté de Johnny, enfin de Jean Philippe plutôt^^. Mais je la trouvais un peu trop présente parfois et même un peu trop cartoonéenne par moment.

Oh purée la collec O_o

A un moment il est question de monde parallèle de retour vers le future. Devant ces questions, un professeur de physique (Jackie Berroyer) en fait une brève explication. Je me suis dit, tient ça devient intéressant. Où le film va t il nous emmener ? Dans un scénario avec plein de rebondissement façon Retour vers le future cité dans le film ? Et bien non c’est dommage. La facilité a gagné ce scénario pourtant intéressant. Le personnage de Luchini, Fabrice, aurais pu entrer dans une sorte de remise en question sur le monde qui nous entoure et face a cet homme qu’il a tant aimé auparavant ou même encore réfléchir sur cette condition humaine, a savoir l’idolâtrie envers un autre homme. Ce fut légèrement évoqué dans le film. Mais c’est un divertissement donc faut pas aller trop dans la prise de tête. Mais ça aurait pu quand même ajouter une autre dimension. Pourtant Laurent Tuel est adepte de film bizarre et fantastique comme sont court « Hillbilly Chainsaw Massacre » ou son avant dernier film « Jeux d’enfant ». Mais le film reste honnête malgré quelque mauvais plan et raccord. Et certain jeu d’acteur de notre Johnny national un peu moyen mais il reste tout de même un bon acteur dans l’ensemble réussissant quand même a effacer la star et c’est pas une mince affaire. Mais connaissant l’honnêteté de celui ci, je penses qu’il est assez humble et qu’il ne prends pas la grosse tête. Il m’a épater lui et Renaud dans "Wanted ". Il fût sûrement mieux diriger que dans Jean Philippe. Comme le dit Tuel, il a une allure a la Clint Estwood avec beaucoup de sensibilité dans son regard et c’est vrais.

 Luchini, Hallyday, Tuel

Bon pour finir, j’ais assez bien aimer ce film, je lui reproche seulement de ne pas aller a fond dans le concept ça a due être plus une partie de plaisir qu’autre chose (a chercher a pousser la mise en scène et les dialogues) Et aussi pour un clin d'oeil pour un autre film qui idolâtre un autre chanteur^^ hein Benoit ? Tiens en « flag » Mister Johnny loool


hohohoho
ha la la mon Johnny au moins tu restes tel quel un mec gentil et humble