23 janvier 2006
6 janvier 2006
Une vie Inachevée de Lasse Hallström
Le Wyoming, de nos jours. Fermier à la retraite, Einar Gilkyson est un homme endurci qui a tiré un trait sur son passé. Encore affecté
par la mort de son fils unique, survenue dix ans plus tôt, il a laissé son ranch, tout comme son mariage, partir à vau-l'eau. Il n'a désormais d'estime que pour son vieil ami et employé Mitch,
grièvement blessé par un grizzli. Alors qu'Einar compte bien finir ses jours reclus dans la solitude et la tristesse, sa belle-fille Jean, qu'il tient pour responsable de la mort de son
fils, arrive en ville sans un sou. Fuyant son petit ami, la jeune femme est accompagnée par Griff, âgée de 11 ans, qu'elle affirme être la propre petite-fille d'Einar ? et dont il ignorait
l'existence. Du jour au lendemain, Einar voit sa vie paisible bouleversée et les vieilles rancoeurs refaire surface...
envoyé par raisuly.
C’est vraiment un beau film. Réalisé d’une main de maître filmer de manière très simple et avec de grand espace. Attention ce n’est pas un film a l’eau de rose avec des couleurs chatoyante tout ca. C’est vraiment une histoire dramatique ou ces deux êtres abandonner ou plutôt qui on tout abandonner pour s’isoler loin des grandes villes L’un blesser par un Ours depuis capturer et l’autre ayant promis de s’occuper de sont seul amis atrocement mutiler qui s’ait sacrifier pour le sauver de cet ours.
Mais le retour de Jennifer Lopez une des filles de nos protagoniste
accompagner de sa fille chamboule et révèle a ces hommes que la vie n’est pas fini et qu’elle commence seulement que maintenant Malgré les réticence du père de cette fille battue par son marie et
en espérant un accueil plus chaleureux de ce père perdu. Le film réussi a nous impliquer dans ce moment d’une vie ou pour fuir la dure réalité des villes, nous trahison cette ouverture d’esprit
pour ce réfugier loin de toute population dense.
Hallström joue avec brio sa camera a travers
Oliver Stapleton sur le couple Freeman et Redford Cadrant sur les tensions faisant ressortir toute l’émotion de l’image tandis que d’autre construise l’image faussement sans
rien .Tandis que lui peux passer a un moment dure et un autre moment de liberté tout en gardant a l’esprit de garder une certaine luminosité et une ambiance pour passer d’un moment dur, a un
moment calme.
La belle Jennifer Lopez
De ce fait pour ressortir le cote dramatique d’une scène, en laissant des éléments du plan dans
l’ombre pour faire ressortir l’émotion du personnage et pour savoir ce qu’il a en tête a ce moment. Les plan grand angle de ce film m’ont plu car réaliste et non pas l’effet carte postale Il y a une bonne gestion des ombre et de la
lumière.
Au niveau du paysage, le film a été tourner dans une ferme a quelque kilomètre de Kamloops
(en Colombie Britannique) Le décorateur a essayer d’être le plus juste et de se rapprocher ainsi du plus possible a une vie dans une ferme L’essentielle c’est d’être le
plus authentique ça n’a pas du être facile. Installer ainsi une ambiance contemporaine tout en ne connaissant pas ce genre de vie en général je peux vous dire qu’il y avait
quelque personne natif de ces région où on été tourner le film
Pour le maquillage de Morgan Freeman on fait appel à l’un des plus grand maquilleur Matthew W.Mungle qui a déjà fait ceux de Dracula de Coppola. Un maître dans le genre Etant habituer a faire des maquillage a effet spéciaux sanguinolents, il eu quand même un peu plus de difficulté pour faire un maquillage subtil et qui permet au spectateur de ne pas se détourner de Freeman. Il a du étudier l’effet d’une morsure d’un Ours (Aie Aie !) et d’imaginer une prothèse efficace mais qui reste quand même minimaliste.
Pour le maquillage de Morgan Freeman on fait appel à l’un des plus grand maquilleur Matthew W.Mungle qui a déjà fait ceux de Dracula de Coppola. Un maître dans le genre Etant habituer a faire des maquillage a effet spéciaux sanguinolents, il eu quand même un peu plus de difficulté pour faire un maquillage subtil et qui permet au spectateur de ne pas se détourner de Freeman. Il a du étudier l’effet d’une morsure d’un Ours (Aie Aie !) et d’imaginer une prothèse efficace mais qui reste quand même minimaliste.